Concordance des temps – émission du 2 juin 2012
>> La page de l'émission sur le site de France Culture
Avec Catherine Coquery-Vidrovitch.
Dans nos souvenirs de classe et dans notre imaginaire, les Touaregs ont fière allure. Ces grands hommes bleus progressant majestueusement au dos de leurs dromadaires, le visage recouvert, sauf à hauteur des yeux, pour que le sable ne l’agresse pas, ne laissant aucun conquérant, aucun colonisateur attenter (…)
Concordance des temps – émission du 26 mai 2012
>> La page de l’émission sur le site de France Culture
Avec Laurent Deshayes.
Quand bien même les douloureuses épreuves que doit affronter à nouveau le Tibet sont quelque peu étouffées aux yeux de l’opinion internationale par la quasi-absence de journalistes et de touristes étrangers qui pourraient en témoigner, on en sait assez pour connaître la résurgence des affrontements violents avec les autorités (…)
Concordance des temps – émission du 19 mai 2012
>> La page de l’émission sur le site de France culture
Avec Emmanuel de Waresquiel.
« Je veux que pendant des siècles on continue à discuter de ce que j’ai été, de ce que j’ai pensé et de ce que j’ai voulu. » Ainsi s’exprimait peu avant sa mort, survenue en 1838, Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord. À en croire les précieux travaux que lui a consacrés mon invité de ce matin, Emmanuel de Waresquiel, il semble bien (…)
Interview parut dans Acteurs publics, le 15 mars 2012.
Lecture de la pièce "L'un de nous deux", le 13 mai 2012, à partir de 21h, sur France Culture.
Avec :
Bruno Raffaëlli : Léon Blum
Jean-Gabriel Nordmann : Georges Mandel
Philippe Weissert : Hans
et les voix de Hélène Lausseur et Martin Amic
Libération, le 7 mai 2012.
Le Nouvel Observateur, 3 mai 2012
Invité de l'émission "Le téléphone sonne", présenté par Pierre Weill, le mercredi 2 mai, de 19h20 à 20h, sur France Inter.
Invité de l'émission "3D", présenté par Stéphane Paoli, sur France Inter, dimanche 29 avril 2012, de 12h à 14h.
Jean-Noël Jeanneney intervient dans la première partie de l'émission.
Entretien dans La Croix, le 27 avril 2012.
La solitude d’un individu face à un autre
« Le duel, au sens propre du terme, a opposé directement les hommes politiques pendant tout le XIXe siècle et jusqu’en 1914. Des affrontements, des agressions verbales qui surgissaient au parlement ou par la presse interposée, créaient une montée de passions qui ne pouvaient pas s’épuiser par la voie parlementaire et trouvaient leur issue sur le pré. La Première Guerre mondiale a frappé soudainement de désuétude le duel, devenu une forme de violence trop dérisoire après l’affreuse boucherie humaine de 1914-1918. (…)